Hier soir, Wall Street a tranché : entre une potentielle guerre totale entre Trump et la Fed et les résultats trimestriels de Nvidia, la planète finance a choisi… Nvidia. Parce que soyons clairs : qui se soucie de l’indépendance de la banque centrale quand il y a une révolution qui est en marche et qui rapporte plein de pognon. La démocratie monétaire peut s’effondrer, tant que Jensen Huang met son perfecto en cuir sur scène et annonce un chiffre d’affaires supérieur aux attentes, tout va bien. Il y a des jours où ça n’est pas simple de trouver ce qui est vraiment important pour le marché. Hier Nvidia a prouvé encore une fois que c’était le nerf de la guerre. Pourvu que ça dure.

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