L'investissement en art contemporain suscite l’intérêt croissant des Tiers-Gérants et des Family Offices. Cette tendance s’explique par plusieurs raisons majeures : diversification, dé-corrélation des marchés financiers et accès facilité à cette classe d’actifs grâce à de nouvelles solutions de co-investissement.

Pourquoi investir dans l’art

Diversification

Contrairement aux actions ou aux obligations, l’art ne fluctue pas au jour le jour en fonction des annonces macroéconomiques. Lors de la crise de 2008, le marché de l’art s’est redressé en moins de 20 mois, alors que le CAC 40 n’a retrouvé son niveau d’avant récession qu’en 2021.

Une valeur refuge

L’art apparaît comme une valeur refuge relativement distincte des mouvements d’actifs traditionnels, plus impactés par la hausse des prix. Ainsi, en 2022, 52% des family offices(1) considèrent qu’investir dans l’art représente une certaine protection contre l’inflation. Ils n’étaient que 18% en 2021.

Valorisation potentielle du capital investi

Depuis les années 2000, les œuvres d’art contemporain des 100 artistes les plus emblématiques, appelés artistes blue chip(2) ont offert une performance moyenne deux fois supérieure au S&P 500, d’après l’indice Artprice 100. Attention, ces performances passées ne présagent pas des performances futures.

Accès facilité via des opportunités de co-investissement

Ticket d’entrée attractif

Historiquement réservé aux professionnels du marché de l’art ou aux grands collectionneurs, le segment blue chip (œuvres valorisées entre 500’000 € et 5 M €) est désormais accessible dès 20’000 € (18’000 CHF) grâce à des obligations convertibles. C’est la solution proposée par Matis, société qui propose de co-investir dans des œuvres d’artistes majeurs du XXe siècle.

Structuration professionnelle

Chaque acquisition d’œuvre via Matis est réalisée via une société de co-investissement dédiée. Les investisseurs détiennent des obligations convertibles proportionnelles à leur mise, converties en actions au terme d’un cycle de cinq ans. Une fois financées, les œuvres sont confiées à des galeries spécialisées en vue de leur revente.

Statistiques et cadre réglementaire

Depuis mai 2023, 60 œuvres ont été financées via les projets de co-investissement de Matis, dont 13 revendues, avec une performance nette moyenne de 15,3%(3) sur un cycle moyen de 8,5 mois, et un TRI annualisé net de frais de 22,3%(4).

Encadrement AMF

Matis opère dans un cadre réglementé par l’Autorité des Marchés Financiers, via son agrément PSFP qui lui a été délivré en octobre 2023, gage d’une certaine fluidité et de transparence dans les investissements réalisés et leur suivi.

 

 

1Deloitte Private & ArtTactic Art & Finance Report 2023

2 L’art  blue chip fait référence à des œuvres d’art de grande valeur réalisées par des artistes majeurs, qui ont profondément marqué l’histoire de l’art, reconnus par les institutions muséales, les galeries internationales, et les collectionneurs. Ces œuvres se vendent au prix le plus élevé dans les maisons de ventes aux enchères, à partir de plusieurs centaines de milliers de dollars.

3Données actualisées au 1er juillet 2025. Performance nette investisseur: montant reversé à l’investisseur, net de tout frais et brut de fiscalité, qui correspond à la différence entre le prix de cession de l’œuvre et son montant d’acquisition, auquel sont retranchés les frais afférents à la commission de la galerie, les taxes et les frais de Matis.

4 Données actualisées au 1er juillet 2025. Taux de rentabilité interne annualisé net de frais: Le taux de rentabilité interne prend en compte les flux de trésorerie générés par un investissement sur une période d’un an, ainsi que la valeur de revente finale de cet investissement. Le TRI mesure la rentabilité réelle d’un investissement en prenant en compte le temps et les montants investis.


Avertissement: les performances passées ne préjugent pas des performances futures. L’investissement dans des actifs non cotés présente un risque de perte partielle ou totale du capital investi.