Dans le monde de l’art, les foires occupent une place prépondérante. Elles rassemblent en un même lieu les acteurs incontournables: galeries, marchands, collectionneurs, institutions, et offrent une visibilité mondiale aux artistes. Des événements comme Art Basel, TEFAF, ou encore la Frieze Art Fair sont devenus des rendez-vous incontournables.
Au sein de cet écosystème où coexistent galeries, maisons de vente et plateformes en ligne, de nouveaux modèles émergent. C’est le cas de Matis, société française agréée par l’AMF, qui propose aux investisseurs d’accéder au marché de l’art contemporain via des structures d’investissement dédiées, et vient d’étendre son activité à l’Italie.
Le rôle des foires d’art
Les foires fonctionnent comme des moments de marché éphémères et réguliers, où les galeries exposent leurs artistes dans un espace partagé, attirant un public international de collectionneurs et d’investisseurs. Leur force réside dans la concentration: en quelques jours, il est possible de rencontrer des dizaines de galeries et de découvrir des centaines d’œuvres, allant de l’art moderne aux créations contemporaines les plus récentes, en passant par l’art ancien, le design, ou les bijoux.
Un modèle économique exigeant
Participer à une foire représente un coût important pour les galeries: location de stand, transport des œuvres, assurance, logistique. Les plus grandes foires — comme Art Basel (Bâle, Miami, Hong Kong, Paris et Qatar) — sélectionnent leurs exposants avec rigueur, garantissant un haut niveau de qualité. Pour les collectionneurs, les foires constituent une vitrine unique pour accéder à certaines œuvres.
Les chiffres clés du secteur
Selon l’Art Basel & UBS The Art Market Report 2025(1), les foires d’art représentent environ 18% du volume mondial du marché, soit près de 10 milliards de dollars de chiffre d’affaires. Si l’Europe demeure la principale région pour les foires (54% du total, dont 12% au Royaume-Uni et 10% en France), les États-Unis restent le premier marché individuel, concentrant à eux seuls 24% des événements organisés en 2024. La Suisse, avec Bâle, et l’Italie, avec Artissima à Turin, figurent également parmi les places fortes du secteur. Après la pandémie, la fréquentation a retrouvé — voire dépassé — ses niveaux d’avant 2019.
Quels profils d’investisseurs fréquentent les foires?
Les foires se composent d’un public hétérogène. On peut autant y croiser des collectionneurs cherchant à enrichir leurs collections, que de simples visiteurs, des investisseurs ou des family offices qui apprécient la concentration d’œuvres et la possibilité de rencontrer directement les galeristes (et parfois les artistes). Aussi, on y trouve de nouveaux acheteurs internationaux, attirés par l’événementiel et la dimension mondaine des grandes foires.
Matis : un acteur qui relie investisseurs et marché de l’art
Matis propose une porte d’entrée accessible et structurée pour celles et ceux qui souhaitent investir dans l’art. La société française combine expertise, rigueur juridique et stratégie de valorisation avec une approche en quatre axes :
- Une sélection experte : Matis identifie, parmi des artistes dits “blue chip”(2), des œuvres présentant un fort potentiel de valorisation, grâce à une veille active et un réseau d’experts reconnus.
- Une structuration juridique claire : chaque acquisition est réalisée par un porteur de projet, via une société dédiée, dans laquelle les investisseurs souscrivent des obligations convertibles, assurant une répartition transparente des droits et des rendements (non garanti).
- Une mise en valeur stratégique : les œuvres sont confiées à des galeries de premier plan afin d’accroître leur visibilité et d’optimiser leur trajectoire sur le marché.
- Une revente encadrée : lors de la cession, les investisseurs récupèrent leur capital initial ainsi qu’une part de la plus-value éventuellement réalisée (non garantie).
Depuis 2023, les membres des offres d’investissement Matis ont investi dans 71 œuvres. 19 d’entre elles ont été revendues, sur lesquelles les investisseurs se sont vus reverser 16,7 millions d’euros pour une performance nette investisseur moyenne de 17,6%(3). Ce modèle innovant permet à des investisseurs moins aguerris d’investir dans l’art tout en diversifiant leur patrimoine.
À noter que Matis, pour l’ensemble de ses offres d’investissement vise:
- une durée d’investissement maximum de 5 ans, et une durée de détention moyenne (non garantie) de deux ans ;
- 20% de cessions par an (non garanties) ;
- un TRI net de frais cible à 15% (non garanti)(4).
Conclusion
Si les foires demeurent des vitrines internationales, catalysant transactions et visibilité pour les artistes et les galeries, elles ne représentent pas l’unique façon d’accéder au marché de l’art. En se positionnant comme un acteur complémentaire, Matis permet aux investisseurs d’accéder à ce marché dans un cadre structuré, transparent et collectif.
Vous souhaitez en savoir plus? Rendez-vous sur matis.club, contactez Matis à l’adresse: invest@matis.club.
Matis propose le 2 décembre prochain une conférence en ligne sur le bilan du marché de l’art en 2025. La conférence sera animée par deux experts Arnaud Dubois – Co-founder et CIO de Matis ainsi que de Cécile Colleville “Head of Art Collection”
-> Voici le lien pour s’inscrire.
(1) Art Basel & UBS Art Market Report, 2025
(2) L’art blue chip fait référence à des œuvres d’art de grande valeur réalisées par des artistes majeurs, reconnus par les institutions muséales, les galeries internationales et les collectionneurs.
(3) Performance nette investisseur : montant reversé à l’investisseur, net de tout frais et brut de fiscalité, qui correspond à la différence entre le prix de cession de l’œuvre et son montant d’acquisition, auquel sont retranchés les frais afférents à la commission de la galerie, les taxes et les frais de Matis.
(4)Taux de rentabilité interne annualisé net de frais : Le taux de rentabilité interne prend en compte les flux de trésorerie générés par un investissement sur une période d’un an, ainsi que la valeur de revente finale de cet investissement. Le TRI mesure la rentabilité réelle d’un investissement en prenant en compte le temps et les montants investis.
Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. L’investissement dans des actifs non cotés présente un risque de perte partielle ou totale du capital investi.